Katell Quillévéré est en lice à Cannes pour la caméra d'or. Son film, "poison violent" raconte l'apprentissage de l'amour chez une adolescente qui doit s'affranchir d'une famille très catho.
"Rien n'est plus lourd à porter qu'un héritage qu'on n'a pas forcément désiré" écrit Gérard Lefort. Le film raconte le basculement (le sentiment amoureux), cette émancipation, et la religion qui grossit tout. Dans son interview, elle dit son désir impérieux, celui de montrer la difficulté à devenir soi-même, à "s'affranchir des attentes" de ceux qui attendent tant, et mal, les parents.
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